Un bouquet
de fantômes Autant de ficelles tirées par l'au-delà bec en faucille
Comme des soutients-rouges attablés en une cène évidente
Que le spectacle commence : des pans entiers de ma peau se craquèlent
Et regardent s'achever la disparition des réalités
Dont la saveur autrefois épicée
Pasellisent chaque seconde
D'un futur aigri de trop aimer
Dans le secret des murmures à peine complices.
Alors, il pourrit dans sa tombe et se rase le matin :
MERTRO-BOULOT-DODO de rage,
Mais...
Mais, il s'évade, ailleurs !
Toujours ayant Peur,
De mander l'heure !
Et n'ose...
Rien d'autre que la Pause !