Un bouquet
d’étendards capillaire et blafard
Duquel hagards flottent maxillaires en fumet
Tchouc ! Tuuuut ! Siffle de rails en potences*
Cette panse d’écailles de barbus caoutchouc
Changer n’y suffit plus le bocal peine
A contenir la vacance l’étranger geint :
Que n’aie-je été hier fondu dans la masse
Par le diamètre d’un astre en l’étau pressé ?
Certes en gare accord perdu
Ne joint plus ni le sort ni le tard
Qu’à courir la dérive entre pots et vertus
Ainsi su dévotion maladive périr
S’attend candélabres de frustre
Du wagon-restaurant à celui de la tête
Par la vitre en buées résultant
Un paysage mal assis permutai
Si dehors voyage dans ce trait
D’un transport privatif recousu
x-------------AKIRA-------------x
Alors, il, dont ce train,
Devint rides enrhumées,
Toussant cœur tripes et sofa,
Ne geint plus car
Guéri de la rage, mais …
Mais êtes vous libre !
De mêler tôt la fibre !
Ptolémée vibre !
Le tard rose !
Et xylose !
* Les potences ici démarrent d’une définition peu connue
Une installation qui suspend les fils électrifiés au dessus de la voie ferrée
Et qui épouse la forme des pénitentiaires plus communément admises.