s'évadent les cendres descendre de la bulle ro uge du centre qui enfle, s'emflamme à trop vou loir prendre ce châpeau qui décoiffe les idées saines siennes qui ne sont son lointain impréc is sauf dans les miennes fantasmées pour un pl aisir parfois malsain le sol vacille saoulé où des pierres vont renaitre nous se taire au rab le assassin passant à tous les temps quand des victoires s'effondrent l'air respire l'air err ant, mine de rien minant des matins puis des s oirs calcinant parfois l'espoir de croire que rien n'arrive marche dans ce champ se mettre e n rang tu écris sur mon oreille.Sylvie Girardot